Nous filons vers la sortie. Une dizaine de taxi man attendent le client. Le notre tire une tronche de trois mètres de long quand il matte notre chariot. Il ose même nous dire qu'il voit pas comment il va faire pour charger tout ça dans son coffre. "No problemo, no problemo..." (à ce moment là, nous maîtrisons l'espagnol comme de vulgaires touristes). Le coffre ferme difficilement, et une fois installés à l'arrière de la bagnole, un énorme sac me cache la vue de B. à ma droite. Les deux derniers sacs feront le trajet sur nos genoux.
Silence à l'arrière, nous regardons chacun par notre fenêtre. Le soleil brille et j'ai réussi à choper la main de mon amoureux en faufilant la mienne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire